Résumé syllabus Frédéric Dobruszkes
Résumé syllabus Frédéric Dobruszkes – Transports, voyages et environnement
Je sais pas comment mettre le syllabus en lien, mais je l'ai en PDF si ca interesse. Y’a quelques images assez parlantes en terme d’occupation de l’espace notamment. C’est « impressionnant » à voir et peut-être utile si on doit illustrer le dossier… Je dois encore retranscrire les interviews précédentes.
P23 – En milieu urbain, il ne fait aucun doute que les transports collectifs ont une bien meilleure efficacité énergétique que les transports motorisés individuels (Tableau 2). Parmi les transports collectifs, on peut dresser une hiérarchie en fonction de la capacité, du bus au RER en passant par le tram, le métro et le train de banlieue. A l’échelle inter-urbaine, l’avion et la voiture apparaissent comme très énergivores et émetteurs de CO2 au contraire de TGV (Tableau 3) pourtant lui-même plus gourmand qu’un train classique.
P29 – Dans les pays dits développés, les transports sont devenus la première source de pollution dans la plupart des agglomérations urbaines, à la fois par réduction des autres postes (désindustrialisation) et fort accroissement du trafic routier, et ce pour la plupart des polluants cités plus haut comme le montrent les estimations dressées pour Bruxelles (Figure 17).
P31 – (…) il est à noter qu’à ce jour, l’industrie automobile n’a accepté qu’une régulation progressivement à la baisse de divers polluants relativement peu liés à la consommation des véhicules. Elle a par contre refusé qu’on réglemente les émissions de CO2, qui sont fortement liées à la consommation et donc à la puissance des véhicules, ainsi qu’aux distances parcourues. Limiter celles-ci reviendrait de fait à interdire les véhicules puissants donc les berlines, les 4X4, les « monospaces » ou à interdire aux gens de conduire leur véhicule au-delà d’un certain quota de kilomètres.
P35 – C’est en particulier en milieu urbain que, là où l’espace est rare, que la consommation d’espace par les transports est le plus dommageable. Celle-ci ne peut en effet s’y faire qu’au détriment du bâti existant (que l’on exproprie et détruit parfois pour laisser la place aux infrastructures) ou du reste de l’espace public (trottoirs, parcs, squares, arbres d’alignement, …) et donc de la convivialité de cet espace et des immeubles adjacents.
P38 – Les gâchis paysagers et les effets barrières : différents exemples…
P116 – (…) l’adaptation des villes à l’automobile afin que la circulation intra-urbaine et inter-urbaine puisse y circuler. Ce dernier point consiste en l’aménagement d’autoroutes urbaines ou de voies rapides en supprimant le stationnement, les trams, les alignements d’arbres et les espaces de détente qui composaient jadis les boulevards, en rétrécissant les trottoirs et en créant ponts et tunnels pour supprimer la contrainte des carrefours, voire en expropriant la population et détruisant les logements ; on tente également de séparer la circulation des piétons de celle du trafic automobile .
P117 – (…) Bruxelles offre de ce point de vue un exemple typique de grands projets (auto)-routiers visant à « moderniser » la ville au profit du trafic routier. Seuls la crise des finances publics et la mobilisation citoyenne marqueront un ralentissement puis un arrêt des réalisations telles que prévues initialement.
P119 – Décompression urbaine et edge city : la périurbanisation où tout est pensé pour la voiture…
P121 à 145 – Maintenant que les agglomérations sont sous « domination automobile » et la population en état de « dépendance automobile », se pose donc la question de comment inverser la situation, c'est-à-dire de parvenir à un transfert modal au profit des transports collectifs, du vélo et de la marche.
Les freins à une moindre utilisation de la voiture. Avec une étude de cas de Bruxelles : tout y passe, péage urbain ?, métro-tram-bus, …
P169 – Quelles régulations publiques ?
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